samedi 9 avril 2011

Gaël m “Ce que j'appelle l'oubli”…

60 pages et une phrase…
Comme une fulgurance, un souffle. Un souffle coupé et trop vite éteint par des vigiles au milieu des boîtes de conserve, sur la dalle de ciment d'une réserve de supermarché. Un souffle étouffé pour avoir bu une bière sans payer. 60 pages pour dire le prix d'une vie et le souvenir. 60 pages pour ne pas oublier qu'un jour de décembre 2009 une personne y a laissé sa vie à La Part-Dieu...
À déguster avec une Kro à la santé de nos amis les vigiles.
“Ce que j'appelle l'oubli”, Laurent Mauvignier, Éditions de Minuit, 7
,00 €.

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